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Je m'appelle James Stewart, je suis un élève americain, et c'est mon blog. Toutes les photos et les autres choses que vous voyez sont des choses que j'aime ou des choses que j'aime faire. Aussi, comme le titre de mon blog suggère, j'aime beaucoup les crêpes! J'espère que vous aimerez mon blog :)

Saturday, January 29, 2011

La meurtre au café

Le Meurtre
Donc le meurtre dans mon scenario se passe dans un café classique français. Notre victime est Jean-Jacques Dubois le vingt et un (XXI). Il est un banquier très riche, et il a juste marché au café où il y rend visite chaque jeudi matin. Il s’assied à sa table normale et commande son repas normal : le pain perdu avec le saucisson. Pendant qu’il attend son petit déjeuner, il regarde les autres personnes dans le café. Il y a la serveuse bien sûr, Monsieur Bernard, le gérant de la banque, d’autres invités, un flic qui était là pour son café, et un homme bizarre dans le coin qui semble regarder curieusement Monsieur Dubois. Oh et oui, il y a aussi Monsieur Bonnet, le cuisinier derrière. Monsieur Dubois prend une bouchée de pain perdu et trouve que le pain a un goût bizarre. En peu de minutes, il est mort sur le plancher.

L’Enquête
                Le flic, Mlle Garcia, voit Monsieur Dubois tomber et court vit à son corps. Se rendant compte que le meurtrier est probablement dans le café, elle empêche toutes les personnes de partir. Il semble qu’elle ait la chance que le Docteur Girard, le médecin local, mangeait son petit déjeuner dans le café au moment du meurtre. Le médecin regarde le corps pendant des minutes et décide que la nourriture de monsieur Dubois était empoisonnée, et que c’était probablement le pain perdu avec la sauce. Pensant à la personne qui a cuisiné la nourriture, elle marche vers Monsieur Bonnet, le cuisinier, qui au même moment avait quitté la cuisine et se tenait près du corps. Mlle Garcia remarque que monsieur Bonnet semble très malheureux, et sa conviction que peut-être le cuisiner est le meurtrier est cassée. Aussitôt qu’elle s’approche de lui, il dit « je sais ce que tu penses, mais ce n’est pas moi. Monsieur Dubois était un de mes meilleurs clients. Je n’avais aucune de raison de le tuer. » Mlle Garcia pense et dit « qui a touché à la nourriture outre toi ? » « Personne ne l’a fait ! » il a dit. « Juste moi. »
                Mlle Garcia est embêtée à ce moment, et juste au moment où elle s’assied à une table, l’homme bizarre qui était dans le coin tout le temps s’approche d’elle et s’assied aussi. Je sais quelque chose. « Quoi ? » elle a demandé d’un air soupçonneux. « Monsieur Bernard, le gérant de la banque, Je l’ai vu arrêter la serveuse quand elle était en route vers Monsieur Dubois avec sa nourriture. Peut-être il a fait quelque chose. » Le flic ne se fie pas à l’homme, mais elle décide que c’est quelque chose qu’elle doit voir. C’est vrai, peut-être parce qu’il est le gérant de la banque de Monsieur Dubois, il a un motif pour le meurtre du banquier et pour obtenir une partie de son argent. Elle s’approche de Monsieur Bernard, et remarque qu’il n’est ni nerveux ni effrayé, mais juste embêté. « Quel  est le problème monsieur ? » elle dit. « Maintenant que Monsieur Dubois est mort, je ne sais pas ce qui se passera avec la banque. » Il répond. « C’est un grand problème. » « Qu’est-ce que tu as dit à la serveuse quand tu l’as arrêté quoiqu’elle ait été en route vers Monsieur  Dubois avec sa nourriture ? » Mlle Garcia demande. « Quoi ? » il dit. « Oh, je lui ai dit que j’étais désolé pour sa mère. La femme a fait faillite la cause de la dette immense qu’elle devait à la banque. » « Oh » Mlle Garcia dit, « c’est dommage. » Et subitement elle a une épiphanie. « La serveuse ! »

La Révélation
                Je comprends maintenant ! Mlle Garcia pense à soi-même. C’est la serveuse ! Elle a empoisonné Monsieur Dubois. Elle était fâchée avec la banque à la cause de sa mère, et elle a décidé de tuer Monsieur Dubois parce qu’elle pensait que c’était sa faute ! Mais comment est-ce qu’elle l’a tué. C’est la partie que Mlle Garcia ne comprend pas. Malgré ça, elle est prête à s’approcher de la serveuse. La serveuse est de l’autre côté du  café, et elle a l’air de s’ennuyer. Mlle Garcia marche vers la serveuse et l’accuse d’avoir fait le crime. La serveuse est très nerveuse à ce moment, mais elle prétend que Mlle Garcia n’a pas de preuve. Oui, c’est le problème, elle pense à soi-même. « La sauce ! » Le cuisinier vocifère devant la serveuse. « Je ne mets pas de sauce sur mes pains perdus ! C’est où est le poison ! » « Vous êtes en état d’arrestation ! » Mlle Garcia dit à la serveuse. Elle donne la serveuse à un autre flic qui est arrivé depuis le meurtre. Mlle Garcia retourne à sa table, et voyant sa grande tasse, elle soupire. « Puis-je avoir plus de café s’il vous plaît ? Le mien est froid. » Le cuisinier rit simplement.

Wednesday, January 12, 2011

Noël Chez James

            Le jour qui était le plus intéressant de mes vacances était probablement le jour de Noël. Ce n’était pas comme un Noël normal, mais c’était un bon jour. Je me suis réveillé le matin et nous avons ouvert nos cadeaux et nos bas de Noël. Cet été j’ai dû vendre mon vélo tout-terrain parce que j’étais trop grand, et c’était le temps pour un nouveau. Donc ma mère m’a donné un nouveau vélo pour Noël. J’ai reçu d’autres choses aussi, des films et des jeux vidéo, mais le vélo était le plus grand. Après les cadeaux, nous avons mangé notre petit déjeuner : des œufs Bénédicte et nous avons bavardé. C’est normal que, après le petit déjeuner, j’aille chez ma grand-mère, mais  cette année à cause de la neige, je n’étais pas capable d’y aller. 
            Donc je suis resté chez moi. Nous avons regardé des films que nous avions reçus le matin et nous nous sommes reposés. Le premier film était Inception, qui était mon cadeau, et le deuxième était Knight and Day. C’était bizarre pour moi de rester à la maison pour la journée, mais c’était bon. J’ai passé le reste de la journée avec ma famille, et j’ai organisé toutes les choses qu’on m’a données et ai trouvé des places pour les mettre (Je n’ai pas beaucoup d’espace dans ma chambre). C’est toujours un challenge quand j’achète ou reçois de nouvelles choses. C’était vraiment tout de la journée. Le lendemain, nous sommes partis pour la Floride, donc j’ai dû me coucher tôt.

Le dîner consultif

            Ma conseillère nous a dit la semaine dernière que c’était enfin le temps pour notre dîner consultatif, et ce dîner était spécial parce que c’était notre dîner de Noël. Elle a dit qu’à cause de ça, nous pourrions aller au restaurant qui est un petit peu plus cher. Bien sûr, le groupe consultatif a choisi Mama G’s, un restaurant italien en ville. C’est aussi mon préféré, donc j’étais content.
            Au restaurant, nous avons mis des tables ensemble et nous nous sommes assis à la table. À mon avis, la meilleure chose dans ce restaurant est le pain. Ils sont de grands, pelucheux, petits pains à l’ail, et ils sont ma chose préférée dans tout le monde. Nous avons commandé des salades aussi. Il y a beaucoup de choses sur le menu normal, plus la spécialité de la maison. Malgré le fait que c’était notre dîner, nous étions sur un budget, donc je devine que le homard et la côtelette étaient détachés du menu. Je savais que le restaurant préparait la pizza, et que c’était très bien, mais je ne voulais pas vraiment une pizza pour le dîner. J’ai enfin décidé sur des pâtes avec des coquilles Saint Jacques, qui sont probablement mon fruit de mer préféré, après le crabe. Le repas était délicieux. Deux personnes étaient intelligents et ont combiné leur argent donc elles ont pu se permettre une grande pizza. Et pour le dessert, j’avais un gâteau au fromage et au chocolat. C’était très bien.
            Après avoir mangé, nous nous sommes donné nos cadeaux pour Noël. Nous avions une personne dont nous étions responsables pour acheter un cadeau. Après avoir terminé, nous sommes retournés au campus. Le prochain dîner sera chez ma conseillère, donc ce sera amusant.

Tuesday, January 11, 2011

Un Dîner Chez mon Amie

            Mon amie m’a invité au dîner ce soir, et elle est une cuisinière géniale, donc je suis très enthousiaste. Cependant, je dois ramasser les ingrédients. C’était l’accord. Pour le dîner, le plat principal est un lapin grillé avec un glaçage à la pêche, avec du riz et une petite salade en accompagnement, et nous avions une crème brûlé pour le dessert. Mon amie a des choses sur la liste comme du sucre et des œufs, les choses normales, mais elle a besoin de deux lapins, des pêches, des épices pour le lapin, de la crème fleurette, et des légumes pour les salades.
            Donc la première chose est le lapin. Le boucher m’a accueilli aussitôt que je suis entré dans le magasin.
             « Bonjour monsieur » a dit le boucher. « Puis-je vous aider avec quelque chose aujourd’hui ? J’ai du bœuf excellent, et aussi des côtelettes de porc. »
            « Actuellement je cherche des lapins. Très tendre de préférence, » j’ai répondu.
            « Oh oui monsieur. Ils sont très tendres en effet, et très frais aussi, » il a dit avec un grand sourire. »
            Il est parti et est retourné après quelques minutes avec deux lapins.
            « C’est neuf euros monsieur. »
             Je lui ai donné l’argent et je suis parti de la boucherie avec mes lapins.
            Le prochain magasin était la crémerie pour la crème fleurette. Je l’ai trouvée dans le frigo à côté du fromage. Le propriétaire ne travaillait pas, et c’était un salarié, donc je n’ai pas senti que je dois lui parler beaucoup. J’ai acheté ma crème et ai continué au marché pour la salade, le riz, et les pêches.
            J’avais trouvé le riz et les choses pour la salade, et j’allais chercher les pêches quand mon portable a sonné. C’était mon amie. Elle a dit qu’elle avait besoin de l’extrait de vanille aussi pour la crème brûlée. C’était un moment bien choisi parce que la vanille était l’allée où j’étais au moment. J’ai trouvé la vanille et les pêches, donc je suis allé payer. Quand je suis retourné chez mon amie avec les provisions, c’étais le temps pour mon amie de commencer à cuisiner. Lorsque le dîner était prêt, j’étais heureux d’avoir mon amie !