Le Meurtre
Donc le meurtre dans mon scenario se passe dans un café classique français. Notre victime est Jean-Jacques Dubois le vingt et un (XXI). Il est un banquier très riche, et il a juste marché au café où il y rend visite chaque jeudi matin. Il s’assied à sa table normale et commande son repas normal : le pain perdu avec le saucisson. Pendant qu’il attend son petit déjeuner, il regarde les autres personnes dans le café. Il y a la serveuse bien sûr, Monsieur Bernard, le gérant de la banque, d’autres invités, un flic qui était là pour son café, et un homme bizarre dans le coin qui semble regarder curieusement Monsieur Dubois. Oh et oui, il y a aussi Monsieur Bonnet, le cuisinier derrière. Monsieur Dubois prend une bouchée de pain perdu et trouve que le pain a un goût bizarre. En peu de minutes, il est mort sur le plancher.
L’Enquête
Le flic, Mlle Garcia, voit Monsieur Dubois tomber et court vit à son corps. Se rendant compte que le meurtrier est probablement dans le café, elle empêche toutes les personnes de partir. Il semble qu’elle ait la chance que le Docteur Girard, le médecin local, mangeait son petit déjeuner dans le café au moment du meurtre. Le médecin regarde le corps pendant des minutes et décide que la nourriture de monsieur Dubois était empoisonnée, et que c’était probablement le pain perdu avec la sauce. Pensant à la personne qui a cuisiné la nourriture, elle marche vers Monsieur Bonnet, le cuisinier, qui au même moment avait quitté la cuisine et se tenait près du corps. Mlle Garcia remarque que monsieur Bonnet semble très malheureux, et sa conviction que peut-être le cuisiner est le meurtrier est cassée. Aussitôt qu’elle s’approche de lui, il dit « je sais ce que tu penses, mais ce n’est pas moi. Monsieur Dubois était un de mes meilleurs clients. Je n’avais aucune de raison de le tuer. » Mlle Garcia pense et dit « qui a touché à la nourriture outre toi ? » « Personne ne l’a fait ! » il a dit. « Juste moi. »
Mlle Garcia est embêtée à ce moment, et juste au moment où elle s’assied à une table, l’homme bizarre qui était dans le coin tout le temps s’approche d’elle et s’assied aussi. Je sais quelque chose. « Quoi ? » elle a demandé d’un air soupçonneux. « Monsieur Bernard, le gérant de la banque, Je l’ai vu arrêter la serveuse quand elle était en route vers Monsieur Dubois avec sa nourriture. Peut-être il a fait quelque chose. » Le flic ne se fie pas à l’homme, mais elle décide que c’est quelque chose qu’elle doit voir. C’est vrai, peut-être parce qu’il est le gérant de la banque de Monsieur Dubois, il a un motif pour le meurtre du banquier et pour obtenir une partie de son argent. Elle s’approche de Monsieur Bernard, et remarque qu’il n’est ni nerveux ni effrayé, mais juste embêté. « Quel est le problème monsieur ? » elle dit. « Maintenant que Monsieur Dubois est mort, je ne sais pas ce qui se passera avec la banque. » Il répond. « C’est un grand problème. » « Qu’est-ce que tu as dit à la serveuse quand tu l’as arrêté quoiqu’elle ait été en route vers Monsieur Dubois avec sa nourriture ? » Mlle Garcia demande. « Quoi ? » il dit. « Oh, je lui ai dit que j’étais désolé pour sa mère. La femme a fait faillite la cause de la dette immense qu’elle devait à la banque. » « Oh » Mlle Garcia dit, « c’est dommage. » Et subitement elle a une épiphanie. « La serveuse ! »
La Révélation
Je comprends maintenant ! Mlle Garcia pense à soi-même. C’est la serveuse ! Elle a empoisonné Monsieur Dubois. Elle était fâchée avec la banque à la cause de sa mère, et elle a décidé de tuer Monsieur Dubois parce qu’elle pensait que c’était sa faute ! Mais comment est-ce qu’elle l’a tué. C’est la partie que Mlle Garcia ne comprend pas. Malgré ça, elle est prête à s’approcher de la serveuse. La serveuse est de l’autre côté du café, et elle a l’air de s’ennuyer. Mlle Garcia marche vers la serveuse et l’accuse d’avoir fait le crime. La serveuse est très nerveuse à ce moment, mais elle prétend que Mlle Garcia n’a pas de preuve. Oui, c’est le problème, elle pense à soi-même. « La sauce ! » Le cuisinier vocifère devant la serveuse. « Je ne mets pas de sauce sur mes pains perdus ! C’est où est le poison ! » « Vous êtes en état d’arrestation ! » Mlle Garcia dit à la serveuse. Elle donne la serveuse à un autre flic qui est arrivé depuis le meurtre. Mlle Garcia retourne à sa table, et voyant sa grande tasse, elle soupire. « Puis-je avoir plus de café s’il vous plaît ? Le mien est froid. » Le cuisinier rit simplement.
J'adore t'histoire. L'emplacement est bon et très français. Tout personnage dit en l'histoire plus ils sont intéressants. La terminaison est irrégulier plus il y a suspense. Je nous pense gagner à Western Carolina avec t’histoire.
ReplyDeleteTon histoire est très française!! Tu dois nous raconter plus du déjeuner de Jean-Jacques Dubois ;) ..et le flic, c'est une Madame,ça me plaît, c'est sûr! En plus, on ne peut pas imaginer qui a empoisonné le déjouner. J'aime le rôle de l'homme bizarre aussi :D Au debut, j'ai pensé qu'il était le meurtier..mais il y a beaucoup, beaucoup de possibilités..
ReplyDeleteTrès bien!
..mais il n'y a pas de crêpes...
Hehe..j'aime la fin-"Puis-je avoir plus de café s'il vous plaît?"
ReplyDeleteJ'aime aussi l'homme bizarre =D
L'endroit et les détails sont français. Donc, cette histoire est bonne pour une compétition française. Cette enquête est classique(la serveuse est la meurtrière), mais elle est aussi unique à cause du motif.
Ta histoire est très bien! Une cafe est parfait pour western parce que c’est facile reproduire et il ne changer pas. J’aime que le détective est une fille aussi. :) J’aime l’image de la serveuse parce que c’est un caractère très classique. Elle était snob et rebelle, mais elle avait un sentiment de obligation à ta famille. La seulement problème avec ta histoire est que il y n’a pas assez de caractères.
ReplyDeleteOh, donc c'était le cuisinier qui a assassiné Monsieur. Cela est intelligent !!! J'aime le revirement. Je pense que Jonathan devrait être le cuisinier.
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